Femme / Fait l’Âme
Le mot « Femme » révèle toute la magie de l’univers, dans lequel celui qui cherche verra un signe du divin accessible à tous mais seulement visible par quelques-uns. Là est le secret de la langue des Oiseaux…
Dans « Femme » il y a la sonorité du mot « Âme ». Ce n’est encore là pas un hasard, puisqu’on devrait prononcer « ème » et non pas « âme ». On y trouve aussi, cette fois en regardant le mot la même terminaison que « Homme« .
Les étymologistes vous trouveront mille raisons à cela. Pour ma part je n’en retiendrai qu’une : ce sera celle qui, pour ces mêmes mille raisons, fait qu’aujourd’hui, contre toute logique le « e » se prononce « a » et qu’on obtient le son « âme »! L’inconscient véhiculé par le langage est toujours le traducteur d’une réalité profonde… Il convient de l’analyser avec la langue des Oiseaux pour en comprendre toute la subtilité.
L’intégration dans le mot « Femme » de plus de la moitié du mot « Homme » nous suggère également une union, une fusion même. La « Femme » est donc celle qui « Fait » l’Âme…avec l’Homme. La Femme est l’Être de polarité Yin qui, dans son « Sein » (autre mot empreint de sens profond) sera créatrice, pour faire une nouvelle âme en s’unissant à son opposé l’Homme. Elle est le lieu protecteur et propice à la création, à la croissance de la Vie.
La Femme est la promesse d’absorption de la lumière du Yang dans l’obscurité du Yin pour la transformer en Vie. C’est ici la réalisation du Feu de l’Âme (voir les mots du Feu) qui justifie le « F » au début du mot Femme. Elle devient créatrice par excellence, la matrice des mondes à venir.
Pour conclure :
Ainsi nous avons vu que le mot « Femme » est celle qui est attachée à la maturation, la protection et la croissance de l’Âme. Elle est de par son Yin, le lieu où la Lumière du Yang trouve la possibilité d’union parfaite…