Nouvelle approche de la Rose de l’Être du langage des Oiseaux
Voici un article dédié à une nouvelle approche de la Rose de l’Être du langage des Oiseaux, qui explique comment l’utiliser et surtout ce qu’elle pourra révéler à celles et ceux qui comprendront la subtilité à laquelle elle nous invite. (Cet article fait partie de la catégorie Formation à la Rose de l’Être.)
J’ai créé la Rose de l’Être dans l’état d’esprit qu’elle pouvait révéler comment se crée notre Réalité personnelle au sein de la Réalité collective. J’ai organisé des ateliers dédiés à la Rose de l’Être et les personnes avec lesquelles j’ai passé du temps à étudier les aspects des Nombres de leur existence ont entendu que la Rose de l’Être mettait réellement en évidence les Grands Archétypes qui conduisent nos existences en offrant une vision de notre Réalité créée à partir de notre mémoire inconsciente. J’ai décidé il y a peu d’arrêter ces ateliers parce que j’ai entendu un autre aspect qui nécessite une nouvelle approche de la Rose de l’Être, que j’expose dans un article publié récemment, lequel appartient à une catégorie créée spécialement pour accueillir les publications relatives à cette nouvelle approche, et qui s’intitule Formation à la Rose de l’Être.
Nouvelle approche de la Rose de l’Être
Voici donc en quoi consiste cette nouvelle approche de la Rose de l’Être qui vient éclairer le propos de plusieurs personnalités considérées sages ou « éveillées », comme Ramana Maharshi, Neville Goddard ou Florence Scovel Shinn, pour n’en citer que les principaux (le site Serenise.org propose aux inscrits des téléchargements gratuits des œuvres de ces auteurs et beaucoup d’autres ressources), qui expliquent la nature de la Réalité.
En effet, le point le plus important de nos existences est de comprendre ce qu’est la Réalité. La Rose de l’Être permet d’en avoir une visualisation complète. Cependant, ce que la Rose de l’Être traduit est la Réalité construite par chacune et chacun d’entre nous à partir du « Moi », que certains, comme Maharshi appellent « petit Moi », qui est la résultante de la relation entre le Conscient de nos mémoires et leur Inconscient. Le mot « Moi » signifie d’ailleurs Mouvement ou Amour (« M ») entre le principe féminin de la réalité créée (« O ») et la Réalité incréée ou inconsciente de principe masculin (« i »). Le « Moi » est à la base de toute la Réalité de nos existences et il existe au sein même de notre Réalité de couple, dans notre travail, etc., qui ne sont que des expressions manifestées de ce Grand Archétype « 2 » qui dirige nos vies.
La Réalité construite par le « Moi » est accessible (sans réelle conscience qu’il s’agit de la Réalité du Moi) via l’astrologie, la numérologie (par exemple celle du langage des Oiseaux), la psychologie et d’autres techniques d’explications fournissant parfois des détails pertinents sur les courants invisibles gouvernants nos existences. Celles et ceux que cela intéresse trouveront là les réponses qu’ils cherchent bien mieux qu’au travers de la Rose de l’Être. Ce qui importe, pourtant, est de ne plus construire la Réalité à partir du « Moi », ou tout du moins sans élever ce « Moi » au « Soi ». Le « Moi » naturel, si je puis dire, est ce qui nourrit l’ego ou « Je », lequel unifie en lui notre Dualité (voir l’article dédié). Notre ego ou « Je », nourrit de la sorte, n’est pas apte à vivre une autre Réalité que celle qu’il crée à partir de sa mémoire (mémoire consciente qu’est le corps et mémoire inconsciente de l’Être) parce qu’il ne connaît pas la nature de sa Dualité.
Nouvelle version de la Rose de l’Être
Dans une nouvelle version de la Rose de l’Être que je considère finale, je n’axe plus la réflexion sur la compréhension de la Réalité qui apparaît au travers de la Rose de l’Être, parce qu’elle ne permet pas de sortir du « Jeu » de l’ego, initié par le « Moi ». J’y offre dorénavant une clef (que vous choisirez d’utiliser ou pas) qui me semble primordiale pour vous inviter à comprendre que la véritable Réalité est celle du « Soi » et qu’il existe au sein de notre Dualité un accès illimité pour parvenir à sortir du « Jeu » de la Réalité comme nous la concevons (observant-observé) afin d’entrer dans le « Senti » d’une Réalité plus vaste qu’est celle du Soi. En comprenant la nature de notre Dualité, nous nourrissons notre « Je » ou ego de la Réalité du « Soi », c’est-à-dire de la véritable Réalité de notre nature profonde ; tout est là, dans cette simple compréhension.
Une nouvelle approche de notre Dualité par la Rose de l’Être
La Rose de l’Être est la preuve de la construction de notre Réalité au travers de notre « Moi » et de la conscience que développe notre « Je » ou ego eu égard à elle. Il est maintenant possible, au travers de cette nouvelle Rose de l’Être, d’entendre notre Dualité et sa réelle nature afin de prendre le chemin du « Soi » et d’entrer dans cette Réalité du « Soi ». Nous venons toutes et tous à l’existence avec une conscience de la Réalité (pour être plus précis, nous portons un faisceau de la Conscience du Tout) qui peut se définir comme une Lumière dans le spectre global du Réel qu’est la Conscience du Tout ou Soi, que nous limitons à la conscience du « Moi ». Afin de porter ce faisceau de la Conscience du Tout et entrer dans la Conscience du « Soi », il faut avoir conscience de notre Dualité et de ce qu’elle révèle de sa nature. Ainsi, le Jour de notre naissance est associé, par le Nombre qui le définit, à un Nombre en correspondance avec notre Dualité inconsciente. Ce Nombre de notre Dualité inconsciente révélé par notre Jour de naissance constitue la Clef qui permet d’entrer sur le chemin du Soi en découvrant la véritable nature de la Réalité dont nous portons désormais la Lumière au travers de notre conscience.
Pour aller plus loin sur votre chemin
Maharshi disait que pour ne plus vivre la souffrance, il faut vivre le « Soi » et que tout ce qui existe dans ce que nous considérons comme la Réalité comprise par le mental n’est que le produit du « Moi » et de ses impasses égotiques. La véritable Réalité est celle dans laquelle il est possible de faire corps avec le Tout, en n’en étant qu’une partie ; elle est celle dans laquelle s’expérimente la véritable paix, cette paix que l’on sent et qui habite tout dès lors que nous la laissons exister en nous. Entrer dans le « Soi », c’est entrer dans le détachement de ce que nous considérons comme la Réalité parce qu’elle n’est que le produit de ce qui est intérieur à nous, manifesté à nos yeux par notre « Moi » inconscient. Nous portons toutes et tous en nous la Réalité du « Soi » qu’il suffit de laisser exister pour Être, tout simplement.
Détails pratiques :
Les publications relatives à cette nouvelle approche de la Rose de l’Être, regroupées dans la catégorie : Formation à la Rose de l’Être, feront partie du téléchargement de la nouvelle version de la Rose de l’Être sous forme d’un fichier PDF pour les acquéreurs du livre « Le langage des Oiseaux : Révélation du Secret Hermétique – Le livre de Référence ».
Ce qui n’existe plus dans cette nouvelle version de la Rose de l’Être :
Il n’y a plus de détails ni d’explications sur les Nombres d’Esprit, d’Âme et du Corps, ces derniers étant complexes à interpréter et bien peu sont celles et ceux capables de discerner ce qui est Esprit ou Âme en eux. Ces explications peu utiles ont été supprimées, comme les explications relatives aux Nombres de l’Est et de l’Ouest qui, malgré tout, restent mentionnés pour celles et ceux qui se sentent capables de les interpréter dans la carte de l’Être qu’est la Rose de l’Être. Il n’existe plus non plus la possibilité d’entrer une date ultérieure afin de connaître l’apprentissage que nous sommes censés recevoir chaque jour, chaque mois et chaque année. Cet apprentissage n’existe pas, ou tout du moins pas sous cette forme. Le seul apprentissage est celui de la Réalité qui peut s’élever depuis celle qui est issue du « Moi » à celle qui entend le « Soi ». Il s’agit d’une ouverture de conscience du « Moi » vers le « Soi » plus que d’un apprentissage dans ce cas et c’est la raison de la disparition de cette possibilité de voir les changements subis par nos Nombres à une date ultérieure ou passée qui ne concernent que le « Moi ».